Pour quels voyageurs ?
Pour les voyageurs qui rêvent de grands espaces, de terres vierges et arides, de paysages étranges, telluriques et magiques. Pour celles et ceux qui veulent vraiment prendre l’air au plus près d’un ciel sans limite. Pour ceux et celles qui veulent prendre le temps de s’attarder dans de petits villages de pisé. Pour celles et ceux qui veulent découvrir de petits bourgs coloniaux loin des grands flux touristiques et y adopter un rythme de vie, les habitudes, les coutumes chères à la population locale. Pour celles et ceux qui veulent voir le paysage se teinter de couleurs incroyables, palette de rouges, camaïeux, flamboyances... Pour celles et ceux qui souhaitent aborder les Andes par l’Argentine, là où l’Amérique commence de s’élever vers le ciel. Pour ceux et celles qui veulent goûter aux vrais repos offerts par les magnifiques estancias, et s’initier aux subtilités des vins argentins...
Ce que l’on trouve lors d’un voyage dans le nord ouest argentin, et pas ailleurs...
Une route très ancienne, la ruta 40, qui se lance de
Cafayate pour atteindre
Mendoza, en marquant une véritable étape au Parc National de Talampaya pour admirer les formations de roches rouges, absolument indescriptibles. La traversée de la Vallée de la Lune et du Parc Ischigualasto, qui vous plonge dans des paysages millénaires et pétrifiés... Les Andes Argentines,
Salta et Villa Nogales, San Miguel de Tucuman, la cave vinicole de Molinos, les ruines de Quilmes et Tafi del Valle...
Vivre un moment unique
Reprendre la route... Après les vastes plaines désertiques, s’élever enfin vers le ciel et les mesas aux herbes brulées, survolées par des rapaces qui se laissent porter par les courants ascendants. Eprouver au plus profond cet intense sentiment de liberté. Se laisser porter par l’émotion devant la beauté tellurique des paysages. Remonter dans le temps, jusqu’aux origines du monde. Les couleurs aspirent les premiers, les derniers rayons du soleil. La route est cernée par les lignes de crête des Andes Argentine, ou plutôt ourlée par des ombres qui font ressortir les teintes des pierres. Faire halte dans un village de pisé, se placer à l’ombre et regarder la vie paisible s’animer devant vos yeux. Rien d’autre, être là, présent au monde, répondre à l’appel de la route, de l’ailleurs. Se sentir nomade et sa place. Envisager les concrétions géologiques avec l’humilité qu’il sied. Nous sommes de passage. Il faut en profiter. L’air est pur, le ciel sans limite, d’un bleu cobalt. Les quebradas sont vertigineuses, et cela donne à la vie, aux plaisirs de la vie, une véritable perspective. Ainsi, au cœur des Andes argentines, lâcher prise.