Ce que l’on trouve lors d’un voyage au Ladakh et qu’on ne trouve pas ailleurs ?
Des paysages époustouflants : un désert de montagne aux roches déchiquetées, aux parois en à-pic, avec de grands lacs d’altitude (le lac Pangong, long de 130 km, le plus haut lac salé du monde, et un des plus grands d’Asie, le lac Tso Moriri, où ont lieu des courses de chevaux traditionnelle chaque année en septembre ou octobre, en fonction des dates lunaires), des dunes où errent des chameaux sauvages (probablement évadés des caravanes des anciennes routes de la soie), et de temps en temps, éclatant comme un bijou, une vallée vert fluo blottie entre deux falaises. Les cols carrossables les plus hauts du monde, entretenus par une armée de travailleurs de la route (les conditions climatiques extrêmes rendent compliquées la maintenance de ces voies de communication stratégiques, à la croisée de l’Inde, de la Chine, du Tibet, du Pakistan…)
Une culture unique, plus proche que de mother India, avec sa langue, son alphabet, ses costumes, son architecture, sa cuisine, et, profondément ancrée, présente à chaque instant de la vie quotidienne, sa religion, bouddhiste lamaïque. Les temples-monastères abondent, tous plus beaux les uns que les autres : autour de la vallée de l’Indus, le petit monastère de Shankar édifié à la fin du 19e siècle, le somptueux monastère de Spituk, celui de Likir, ou celui de Lamayuru, de Rizong, ou d’Alhi, la grotte où médita Naropa.
Pour quels voyageurs ?
Tous ceux intéressés par les cultures tibétaines
Les amoureux d’air pur et de haute montagne
Ceux qui veulent une Inde loin des foules
Les meilleures formules
Prendre ( agréablement ) le temps de s’acclimater à l’altitude en se « posant » quelques jours à Leh, l’agréable capitale du Ladahk dont la région regorge de merveilles ( forts, monastères, villages, marchés…)
Une destination d’été : les routes ne sont ouvertes qu’entre mi juin et mi septembre, le ciel sera immanquablement bleu, et l’air d’une pureté rare
Pour ceux qui aiment marcher : prévoir un trek dans les montagnes
Vivre un moment unique lors de son voyage au Ladakh
Prendre la région a contre courant et y aller en plein hiver pour les fêtes du nouvel an tibétain par exemple, généralement au mois de février
Assister aux fêtes des temples : quelques jours de chants et de danse, une chorégraphie immuable réalisée par les moines en tenue d’apparat, racontant des histoires de dieux et de démons masqués, belles même si on ne comprend pas tout. Elles ont lieu dans chacun des monastères ladakhis, sous les yeux des habitants de toute la région