Voyage Archipel des Marquises

C'est l'archipel le plus jeune de Polynésie, et ça se sent : c'est une autre Polynésie. Plus brute. Plus violente. Pas de lagon pour l'adoucir, les montagnes tombent à pic dans une mer d'un bleu intense, profond, sans concessions. Il y a bien quelques plages - sublimes, on est en Polynésie, tout de même, mais la force du lieu n'est pas là. Elle est dans ses forêts vertes, où se nichent des tikis de pierre qui portent la mana, l’esprit magique polynésien. Dans ses cascades qui dévalent les montagnes. Dans ses villages nichés au creux des vallées. dans les petits chevaux semi-sauvages que l'on croise ça et là (et qui, selon Jacques Brel, qui avait appris à bien les écouter "fredonnent Gauguin"). Et dans le sourire lumineux des Marquisiens.

Pour une lune de miel inoubliable Pour un voyage en famille

Pour tous ceux qui aiment la mer

Pour ceux qui rêvent de bouts du monde

Et sans doute d'autres encore : c'est un lieu si rare....

En croisière d’île en île sur l’Aranui, le petit cargo qui ravitaille les îles Marquises en produits alimentaires, courrier, matériaux etc… A chaque étape, pendant que le bateau décharge sa cargaison, vous partirez à la découverte des richesses de l’île.

Combiner plusieurs iles dans des hôtels de luxe ou de charme, ou dans des maisons d'hôtes, pour gouter de près la vie des Marquisiens. Quelques jours à Nuku Hiva, l’ile principale de l'archipel, à Hiva Hoa, celle élue de Brel et de Gauguin, Ua Pou, ou d’autres, plus petites, plus sauvages encore, que l'on ne peut rallier qu'en bateau

Se lever bien avant l'aube, et assister au retour des pêcheurs dans le village de Taioahe, sur l’île de Nuku Hiva. Suivre les traces de Jacques Brel, en passant quelques jours dans son village, dans le Village d’Atunua, où vécut aussi Gauguin. On peut aller écouter le disque « les Marquises » devant Jojo, l’avion de Jacques Brel, visiter la « maison du Jouir » et le petit musée Gauguin, et aller se recueillir sur leurs deux tombes, côte à côte, à l’ombre des frangipaniers.

Bien s'entraîner, et tenter de faire le marathon d’Hiva Hoa, un des plus durs du monde (avec les dénivelés de l'île montagne) mais sans doute l’un des plus beaux (avec les paysages déchiquetés qui s'échappent sur la Grande Bleue). A défaut, profiter de la fête en soutenant les participants, en faisant sur la piste un bout de chemin avec eux.