Vous aimerez
    • Une semaine pour découvrir en voiture et en liberté l’une des plus envoûtantes régions de Roumanie
    • Des hôtels agréables à vivre et bien situés, des tables savoureuses, des paysages à grand spectacle
    • Les visites privées de Bucarest puis de Brasov, porte de la Transylvanie : c’est déjà prévu !
    • Appli mobile avec GPS, absorption carbone intégrale, conciergerie : les plus Voyageurs

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La Roumanie des monts et forêts

En Transylvanie, villes et villages ont généralement un nom roumain, un nom allemand, un nom hongrois, souvent un nom yiddish, parfois un nom turc ou latin. Les Roms ayant aussi une toponymie. Vous entrez dans un pays divers, qui a vu (et voit encore) se croiser, se heurter et cohabiter des populations à l’identité forte. C’est inscrit partout dans l’architecture civile et religieuse. Après deux jours consacrés à Bucarest en Valachie, on passe en Transylvanie. En commençant par Brasov. Première étape Dracula. Le château de Bran logeant le mythe, sinon le vampire. C’est ensuite Sibiu. Un certain enchantement, qui ne lâchera plus les voyageurs, se fait jour sur la Grande Place de la ville haute.
La vieille Europe parade ici comme une évidence vivante et belle. Retour en Valachie à travers les monts Fagaras, l’une des plus belles routes de montagne qui soient. A Snagov, on s’abandonne aux plaisirs du spa au bord d’un grand lac dont une île aurait reçu le corps de Vlad III Tepes (qui a inspiré à Bram Stoker son comte à dents de sabre). D'un bout à l'autre, le périple s’effectue dans des paysages variés, splendides, étonnamment préservés. Et en plus des monuments et de la nature, on retient longtemps le sens de l’accueil dont les Roumains font preuve en toutes circonstances.

Votre voyage

Le réseau routier s’est bien amélioré ; le pays dispose de chaussées récentes et fiables. Bien entendu, certains secteurs laissent encore à désirer, mais ce voyage les concerne peu. On peut donc prendre le volant sans souci en Roumanie ; on y gagne un vrai sentiment de liberté. A chaque étape, un hôtel de bonne qualité, accueillant, bien situé ; leurs nuances dépendant des conditions locales. En cours de route, on découvre la roborative cuisine roumaine, à laquelle de jeunes chefs s’emploient à donner un tour contemporain. A votre agenda, deux rendez-vous : la visite de Bucarest et celle de Brasov. Toutes deux en privé et en français. Sibiu pouvant leur être adjointe. Pour le reste, les choses sont suffisamment claires pour que vous les abordiez seuls, à votre rythme. Les distances journalières se parcourent de façon à permettre et la visite de la ville de destination et des stops intermédiaires. Sans épuiser personne. Des moments farniente ou palinka étant non seulement possibles, mais conseillés. En chemin, un désir imprévu ou un léger contretemps peut survenir ; vous disposez pour y répondre des coordonnées de notre concierge sur place.

Itinéraire

Suggestion 100% personnalisable selon vos envies
JOUR 1

Vol pour Bucarest

Transfert privé et installation pour deux nuits dans le centre de Bucarest, place de l’Union. Dès la façade, le blanc met en valeur une architecture XIXe de belle facture. Il vous suit ensuite à l’intérieur, lequel est d’un classicisme hôtelier net et sans bavure. L’aménagement de la cour en lobby est très réussi. Les chambres répondent au standard international. Elles sont bien équipées et confortables, dans des tons neutres. Le restaurant sert une cuisine internationale pro. La situation de l’établissement permet de gagner rapidement les principaux centres d’intérêt.

JOUR 2

Bucarest

Déjà prévu au programme - Visite privée de Bucarest. En compagnie d’un guide francophone, on part à pied à la découverte des monuments d’une ville bien plus attrayante que prévu. Car elle ne se réduit nullement aux édifices spartiates de la période socialiste, ni même au bodybuildé Parliament Building. On trouve des coins charmants dans le quartier Lipscani. Calea Victoriei, à l’angle sud-ouest de la place de la Révolution, se dresse l’église Cretulescu, qui date du XVIIIe siècle - comme aussi la petite église du monastère Stavropoleos, chatoyant exemple de style Renaissance valaque. La cathédrale gréco-catholique Saint-Basile-le-Grand, construite en 1909, doit son existence à des Bucarestois d’origine transylvaine. Les collections du musée national d’art illustrent brillamment l’ancrage européen de la culture roumaine. Ce que confirme de passionnante façon le musée d’histoire. Chemin faisant, on croque un bretzel ou un beignet, comme le font les habitants de la capitale lorsqu’ils ont un petit creux.

JOUR 3

Bucarest - Brasov

Prise en main de la voiture de location et route pour la Transylvanie. Installation pour deux nuits dans une maison néoclassique de la vieille ville de Brasov. La décoration s'inspire de l'esprit du XIXe siècle finissant : bois sombre, cuir capitonné, velours. Les chambres sont bien équipées, confortables, dotées d'une salle de bain fonctionnelle. Poutres au plafond et autres éléments de charpente leur donnent un cachet old time bien sympathique. Le bar et le restaurant tiennent les caves ; murs de brique, voûtes, quelque chose d'à la fois brut et convivial, à quoi la cuisine roumaine et hongroise du chef va très bien.

JOUR 4

Brasov

Déjà prévu au programme - Brasov, porte de la Transylvanie. Brasov fut fondée au XIIIe siècle sous l’impulsion d’un grand maître des chevaliers teutoniques, Hermann von Salza. Elle a depuis constamment gardé un caractère germanique (dont témoigne encore aujourd’hui la porte Catherine, du XVIe siècle, longtemps seul point d’entrée dans la ville autorisé aux Valaques, Roumains). Ancien centre commercial, on y retrouve de nos jours le cachet de l’Empire austro-hongrois, qui encouragea son développement industriel au XIXe siècle. Elle possède un riche héritage artistique, allant du gothique au Jugendstil. L’église Noire (de suie, XIVe-XVe siècles) rallie toujours une solide communauté luthérienne. Rues et places anciennes forment un réseau plein de charme. Quant au château de Bran, il a une histoire intéressante, mais le mythe de Dracula qui s’y attache fait passer celle-ci au second plan. Il faut dire qu’on verrait volontiers le fameux vampire s’en échapper la nuit ! Promenade accompagnée par un guide francophone privé.

JOUR 5

Brasov - Sibiu

Route pour Sibiu. Installation pour deux nuits dans le centre historique. Si les origines de la maison remontent au XIIIe siècle, son aspect actuel est plutôt baroque tardif. Elle est charmante avec ses doubles fenêtres, ses galeries de bois, les piliers torses du passage, un pittoresque vieille Europe qui reflète bien celui de la ville. Les chambres sont simples, bien aménagées et confortables. Il n’est question de rien d’autre que de vous permettre de récupérer dans de bonnes conditions. L’essentiel étant dehors. Le légendaire pont des Mensonges - premier pont de fonte construit en Roumanie - est tout proche.
En option - Sibiu, ville roumaine aux influences allemandes.

JOUR 6

Sibiu

Les choses étant toujours moins simples qu’il n’y parait, c’est Nicolae Ceausescu qui a fait construire la route nationale 7C pour se garantir d’une invasion russe sur le modèle tchécoslovaque. L’homme du désormais Parliament Building de Bucarest est donc aussi l’initiateur de l’une des plus belles routes d’Europe, à travers les monts Fagaras. Une centaine de kilomètres à grand spectacle entre Cartisoara et Curtea de Arges. Les lacets imposent une conduite précautionneuse. C’est au profit des passagers, qui s’en mettent plein les yeux. La citadelle de Poenari semble toujours surveiller les confins de la Valachie et de la Transylvanie ; elle appartient elle aussi à la légende de Vlad l’Empaleur / Dracula. A Curtea, plusieurs édifices religieux notables, dont la petite église de l’Assomption de la Vierge Marie, de la fin du XVIIe siècle et décorée de peintures murales extérieures et intérieures (celles-ci, hélas, assez dégradées). La 7C est intégrable à l’itinéraire pour Snagov. A la belle saison du moins, car la neige provoque la fermeture de la route.

JOUR 7

Sibiu - Snagov

Route pour Snagov. Nuit sur la rive sud du lac. Le jardin donne sur l’eau. Dans l’hôtel, pas de teintes mais de vraies couleurs. Ce qui donne de la tenue aux pièces. Et une note glamour. Les chambres proposent un confort moderne, sans lacune. Au restaurant, la cuisine oscille entre la vocation détox healthy de la maison et la générosité calorique de la tradition. On choisit. Ou on compose. Le pôle bien-être est constitué de deux piscines extérieures et d’un spa, avec hammam, sauna, bain à remous. Des praticiens retaillés ont en charge soins et massages. Une approche holistique à laquelle les séances de yoga s’intègrent naturellement.
Et dernière évocation de Dracula : Vlad l’Empaleur reposerait au monastère de Snagov, fondé au début du XVe siècle. Le conditionnel est de rigueur.

JOUR 8

Snagov - Vol retour

Route pour l’aéroport de Bucarest et restitution de la voiture. Vol retour.

A la carte

Sibiu, ville roumaine aux influences allemandes

La ville, ancienne Hermannstadt, fondée par des Allemands au XIIe siècle, a traversé l’histoire sans dommage majeur. Elle présente un miraculeux mélange d’architecture gothique, Renaissance et baroque. L’équilibre harmonieux qui s’en dégage en fait l’une des plus séduisantes cités d’Europe, qui postule à l’inscription au patrimoine mondial. De ses quatre enceintes, XIIe-XVe siècles, des traces subsistent ici et là ; l’architecture militaire Renaissance a pour témoin le bastion Haller et celle du XVIIe siècle, celui des Mercenaires. Dans la ville basse, mentionnons, à titre d’exemple, le passage des Orpailleurs et ses émouvantes maisons XVIe. Dans la ville haute, on a l’embarras du choix. La Grande Place, évidemment, dont l’héritage artistique va de la gothique tour Blanche à l’hôtel de ville néo-rococo. La Petite Place, que commande le fameux pont des Mensonges, ne manque pas non plus d’attraits. La cathédrale évangélique (XIVe-XVIe siècles), qui possède une splendide Crucifixion a secco de Johannes von Rosenau (1445), marque par sa noblesse la place Albrecht Huet. Visite avec un guide francophone privé.
En option - Demi-journée

Budget estimé

Selon saison, types d'hébergements et activités
Le budget estimé pour ce voyage est de 1 400 € à 1 800 €/personne.

Parler de prix fixe lorsque l'on évoque un voyage sur mesure a peu de sens. En effet, celui-ci varie suivant de nombreux facteurs (niveau de prestations, période, délai de réservation et bien d'autres encore). Le seul prix exact sera celui de votre devis personnalisé.

Le prix moyen constaté pour ce voyage est de 1 600 €/personne.

  • Le vol international pour Bucarest, sur compagnie régulière
  • Les taxes aériennes et surcharge carburant
  • La neutralité carbone intégrale par absorption des émissions de co2 de votre voyage (par le biais de notre Fondation Insolite Bâtisseur Philippe Romero)
  • Le transfert privé à l’arrivée
  • La location d’une voiture pour 6 jours
  • Les 2 nuits à Bucarest, en chambre double avec petits déjeuners
  • Les 2 nuits à Brasov, en chambre double avec petits déjeuners
  • Les 2 nuits à Sibiu, en chambre double avec petits déjeuners
  • La nuit à Snagov, en chambre double avec petit déjeuner
  • La visite de Bucarest, avec un guide francophone privé
  • La visite du Brasov, avec un guide francophone privé
  • Notre service conciergerie sur place
  • Un carnet de voyage rassemblant de nombreuses informations utiles (votre programme jour par jour, les coordonnées de vos hôtels, une sélection de bonnes adresses personnalisées et géolocalisée, etc.), disponible aussi sous forme d’application mobile
  • Nos recommandations, et la réservation éventuelle de certains restaurants

Réf: 1643784
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