Idée voyage 100% personnalisable
Roumanie - Bucarest - Transylvanie - Bucovine - Maramures
Suggestion 100% personnalisable selon vos envies
Transfert, et installation pour deux nuits dans le centre de Bucarest. L’hôtel a deux ailes, l’une contemporaine, l’autre éclectique. Entre elles, un joli jardin-terrasse. A l’intérieur, un design net et moderne met à l’aise les voyageurs. Les chambres sont claires, bien équipées, dotées d’une literie coton soie très agréable ; les salles de bain ne déparent pas. Canapés et fauteuils de cuir donnent de la tenue et du craquant aux parties communes. Au piano, le chef passe avec aisance du répertoire roumain aux classiques internationaux. Petit déjeuner à l’américaine : pancakes, céréales, fruits, etc. Pour se délasser et entretenir son tonus, on a accès à un sauna, à un spa et à une salle de gym.
En option - Les billets d'entrée pour le Palais du Parlement.
Déjà prévu au programme - Visite privée de Bucarest. En compagnie d’un guide francophone, on part à pied à la découverte des principaux monuments d’une ville bien plus attrayante que prévu. Les édifices de période socialiste paient aujourd’hui leur conception hâtive, mais leur reconversion bat son plein. Et ils n’ont pas tout recouvert, loin s’en faut. On trouve encore des quartiers réchappés aux pelleteuses de l’Histoire, Lipscani par exemple. Calea Victoriei, à l’angle sud-ouest de la place de la Révolution, se dresse l’église Cretulescu, qui date du XVIIIe siècle - comme aussi l’église du monastère Stavropoleos, chatoyant exemple de style Renaissance valaque. La cathédrale gréco-catholique Saint-Basile-le-Grand, construite en 1909, doit son existence à des Bucarestois d’origine transylvaine. Les collections du musée national d’art illustrent brillamment l’ancrage européen de la culture roumaine. Ce que confirme de passionnante façon le musée d’histoire. Chemin faisant, on croque un bretzel ou un beignet, comme le font les habitants de la capitale lorsqu’ils ont un petit creux.
Prise en compte de la voiture de location et route pour Brasov. Installation pour deux nuits dans une maison néoclassique de la vieille-ville. La décoration s'inspire de l'esprit du XIXe siècle finissant : bois sombre, cuir capitonné, velours. Les chambres sont bien équipées, confortables, dotées d'une salle de bain fonctionnelle. Poutres au plafond et autres éléments de charpente ajoutent une dose de romantisme provincial. Le bar et le restaurant tiennent les caves ; murs de brique, voûtes, quelque chose d'à la fois brut et convivial, à quoi la cuisine roumaine et hongroise du chef va très bien.
Déjà inclus - Vos billets d'entrée pour le château de Peles.
Au programme - La demi-journée de visite des incontournables de Brasov, avec un guide privé francophone. Brasov fut fondée au XIIIe siècle sous l’impulsion d’un grand maître des chevaliers teutoniques, Hermann von Salza. Elle a depuis constamment gardé un caractère germanique (dont témoigne encore aujourd’hui la porte Catherine, du XVIe siècle, longtemps seul point d’entrée dans la ville murée autorisé aux Valaques, Roumains). Ancien centre commercial, on y retrouve de nos jours le cachet de l’Empire austro-hongrois, qui encouragea son développement industriel au XIXe siècle. Elle possède un riche héritage artistique, allant du gothique au Jugendstil. L’église Noire (XIVe-XVe siècles) rallie toujours une solide communauté luthérienne. Rues et places anciennes forment un réseau plein de charme.
Déjà inclus - Vos billets pour le château de Bran. Le château du compte Dracula a une histoire intéressante, même si le mythe de Dracula qui s’y attache fait passer celle-ci au second plan. Il faut dire qu’on verrait volontiers le fameux vampire s’en échapper la nuit !
Route pour Sighisoara. Nuit en contrebas de l’hôtel de ville - de raides escaliers mènent à la partie haute de la cité. Une maison saxonne à façade vieux rose. Dedans, une rusticité assumée, exaltée même. Dans certaines pièces, les plafonds poutres et planches ont une sacrée allure. Il se dégage de tout ça une impression de force. Les chambres n’en sont pas moins confortables et bien équipées, prolongées chacune par une salle de bain très plaisante. L’ambition muséale ne prend pas le pas sur les impératifs hôteliers. Le soir, on se retrouve dans la cour, autour du barbecue. Les spécialités charcutières de la région faisant merveille sur celui-ci. Ses églises, ses tours, ses maisons d’artisan et de marchand, ses remparts classent Sighisoara parmi les hauts lieux médiévaux du pays. Il faut découvrir cela à pied, en se laissant surprendre par des points de vue toujours renouvelés.
Route pour Gheorgheni. Nuit dans une petite vallée, à quelques kilomètres au nord-est de la ville. Un je-ne-sais-quoi de douillet et tranquille émane du chalet. On pense à la maison des Trois Ours. Les chambres sont simplement aménagées. La salle à manger a un air net et frais ; le soir, on y dispose un joli buffet. Pour se délasser, les services d’un petit spa, la chaleur sèche d’un sauna et une table de ping-pong. Dehors, un barbecue, qui permet d’enrichir son expérience des grillades roumaines. On se trouve dans les belles montagnes du pays sicule. Les Sicules, de langue hongroise, ont peuplé la région au Moyen Age ; ils gardaient alors les confins orientaux du royaume de Hongrie - dont le reflux les a laissés là, comme des coquillages sur la plage. A une quinzaine de kilomètres de l’hôtel, le lac Rouge offre un paysage enchanteur ; en 1837, un glissement de terrain en a provoqué la formation : récent et naturel !
Route pour Gura Humorului, en Bucovine. Installation pour deux nuits dans une jolie maison d'hôtes qui regroupent en fait plusieurs petites maisons typique de la région ainsi que quelques autres plus modernes, à la manière d'un petit village. La table d'hôtes fait la part belle aux produits de la ferme attenante et de ceux des voisins. Une halte chaleureuse et empreinte de traditions.
Déjà prévu au programme - Les églises peintes de Bucovine. Eglises monastiques orthodoxes édifiées aux XVe-XVIe siècles, elles ont fait l’objet d’une inscription au patrimoine mondial de l’Unesco. Pour leur intérêt historique et architectural, mais surtout pour les fantastiques programmes peints qui en couvrent les murs intérieurs et extérieurs. La plus ancienne de la visite, celle du monastère de Voronet, date de 1487. Les motifs juxtaposent sur fond bleu scènes bibliques et traditionnelles - un Jugement dernier monumental notamment. Foudroyant. La présence dans ce contexte, comme dans les autres sanctuaires, des grands philosophes païens de l’Antiquité grecque pose d’intéressantes questions d’histoire des idées. A Moldovita - 1532 - on admire un bel arbre de Jessé (généalogie du Christ) et une représentation de la prise de Constantinople par les Turcs, en 1453. Enfin, à Sucevita - 1583 - l’échelle du Paradis montre les fidèles progressant sur le fil entre un bel ordre angélique et le chaos infernal. La prière de tous saints, sur les murs de l’abside, est un motif rare, marquant l’heureux terme du funambulisme spirituel de l’échelle. Journée en compagnie d’un guide privé francophone.
Route pour Sighetul Marmatiei. Installation pour deux nuits au sud-ouest de la ville, sur la rive nord de la rivière Iza. L’hôtel, ample, bien découplé, fleure bon la respectabilité et un mode de vie confortable. D’ailleurs, il y a des géraniums aux fenêtres. Chambres et parties communes sont équipées avec soin, sobres et fonctionnelles. Au bourdonnement positif de l’auberge maison, on comprend vite que le chef envoie ce qu’il faut sur les tables : une cuisine roumaine qui réjouit l’âme. Les vins du pays contribuant aussi à la belle humeur des convives. Dehors, l’indispensable barbecue pour les beaux jours.
Les avanies de l’Histoire n’ont pas épargné Sighetul Marmatiei, capitale historique de la Marmatie / Maramures. L’importante communauté juive hassidique qui l’habitait a disparu pendant la Shoa. Le musée installé dans la maison natale d’Elie Wiesel (1928-2016), Strada Dragos Voda, en rend compte. L’ancienne prison du bourg rendant elle hommage aux victimes du communisme.
Déjà prévu au programme - Les églises en bois de Maramures. L’Unesco a classé huit de ces églises orthodoxes traditionnelles ; on en visite trois avec un guide privé francophone. L’église de la Pieuse-Parascève (sainte ascète du XIe siècle), à Desesti, date de 1770 ; son harmonieuse verticalité résulte d’un travail de charpente hors pair. A l’intérieur, vigoureux ensemble de peintures murales. Les toits de bardeaux de l’église Saint-Nicolas de Budesti (1643) lui font comme une carapace, ou un manteau, gris clair. Avec ça, une grande pureté de ligne. Quand à l’église de la Présentation-de-la-Vierge-au-Temple, à Bârsana, bâtie en 1720, elle vaut autant pour ses peintures que pour son architecture. Ces édifices expriment solidairement l’excellence du métier - celui des artisans qui les ont réalisés - et la foi qui animait les communautés, leur sens esthétique aussi. Ces chalets du bon dieu témoignent de relations étonnamment équilibrées entre les contraintes de la terre et les vertiges du ciel.
Route pour Cluj-Napoca. Nuit quelques hectomètres au nord du jardin botanique de Cluj-Napoca. L’hôtel est installé dans un bâtiment XIXe et offre une décoration qui confine parfois à un kitsch léger. Couleurs parme, pétrole, anis. Des chambres et des salles d’eau convenablement équipées permettent aux voyageurs de récupérer dans des conditions nominales. Petit déjeuner sur place ; restaurant à portée de promenade. Pôle économique important, Cluj fait aussi office de chef-lieu pour les Hongrois de Roumanie, qui constituent la moitié de la population de la ville. La maison natale de Matthias Corvin (1443-1490), grand monarque hongrois, a valeur emblématique.
En option - La visite privée de Cluj-Napoca.
Route pour Sibiu.
En option en chemin - La visite privée de la mine de sel de Turda.
Installation pour deux nuits dans le joli centre historique. Le home occupe une maison ancienne, aménagée dans le style hôtelier classique. Les chambres, nettes et agréables, ont un petit air coquet. La salle de gym gagne à son installation dans des caves de brique voûtées une atmosphère. On trouve sans peine aux abords de l’hôtel un restaurant ou une auberge. La cuisine transylvaine ne laisse pas sur sa faim : slanina, lard fumé, que l’on mange avec du pain et des oignons rouges ; pastrama, viande saumurée - bœuf, mouton, chèvre ; fromage de brebis de la zone pastorale Marginimea Sibiului ; hanklich, génoise et crème ; etc.
Au programme - La demi-journée de visite des incontournables de Sibiu, avec un guide privé francophone. La ville, ancienne Hermannstadt, fondée par des Allemands au XIIe siècle, a traversé l’histoire sans dommage majeur. Elle présente un miraculeux mélange d’architecture gothique, Renaissance et baroque. L’équilibre harmonieux qui s’en dégage en fait l’une des plus séduisantes cités d’Europe, qui postule à l’inscription au patrimoine mondial. De ses quatre enceintes, XIIe-XVe siècles, des traces subsistent ici et là ; l’architecture militaire Renaissance a pour témoin le bastion Haller et celle du XVIIe siècle, celui des Mercenaires. Dans la ville basse, mentionnons, à titre d’exemple, le passage des Orpailleurs et ses émouvantes maisons XVIe. Dans la ville haute, on a l’embarras du choix. La Grande Place, évidemment, dont l’héritage artistique va de la gothique tour Blanche à l’hôtel de ville néo-rococo. La Petite Place, que commande le fameux pont des Mensonges, ne manque pas non plus d’attraits. La cathédrale évangélique (XIVe-XVIe siècles), qui possède une splendide Crucifixion a secco de Johannes von Rosenau (1445), marque par sa noblesse la place Huet.
Route pour Snagov. Nuit dans un village traditionnel valaque plus vrai que nature. Les maisons sont en bois, les pièces meublées et décorées comme dans les contes. Tapis à motifs floraux, couvertures de laine poilue, poteries peintes, broderies, outils d’antan et photographies à la chambre, on débarque dans un musée ethnographique qu’on a le droit d’habiter. Dépaysant. Au restaurant, cuisine roumaine nouvelle et esprit d’Italie. Sur une petite île du lac de Snagov, se trouve le monastère de Snagov, fondé au début du XVe siècle. Vlad l’Empaleur (1431-1476), prince de Valachie, prototype historique de Dracula, y reposerait.
Route pour l’aéroport de Bucarest et rendu de la voiture. Vol de retour.
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