Idée voyage 100% personnalisable
Guatemala - Honduras - Belize
Suggestion 100% personnalisable selon vos envies
Transfert. Nuit dans un hôtel récent, d’esprit plutôt nord-américain : restaurant lambrissé, drapés, ton sur ton crème, etc. Les chambres sont confortables, colorées pastel. Avec ça, une salle de fitness que n’aurait pas désavouée l’Inquisition espagnole. Piscine et squash sont des équipements dont on use volontiers après un vol. Le spa permettant de mettre la touche finale au retour du tonus. En cuisine, les chefs font preuve de professionnalisme. Une adresse international level sur laquelle on peut compter.
Prise de contact avec le chauffeur hispanophone. Route pour Iximché.
Déjà prévu au programme - Billet pour le site d’Iximché. A l’est du lac, l’ancienne capitale kaqchikel - XVe siècle - offre un ensemble urbain encore très complet. Les conquistadors l’ayant épargné eu égard à leur alliance avec les Kaqchikel contre les Quiché. La ville fut néanmoins brûlée par des irréguliers espagnols. Les vestiges sont encore puissamment évocateurs.
Route pour Solola. Deux fois la semaine, les gens de la montagne descendent au village avec leurs haricots et leur maïs. Ils achètent aussi ce dont ils auront besoin là-haut. On reconnait les uns et les autres à leur costume. Pas d’individualisme vestimentaire dans les communautés, on porte les couleurs et les motifs de celle à laquelle on appartient. Tout cela ensemble fait un tableau chatoyant. Il y a des étals de quincaille aussi. Et des stands de poulet frit et de frites.
Installation pour deux nuits au bord de l’eau, à Santa Catarina Palopo. Des chambres, vue sur la piscine, l’Atitlan et les volcans. Le jardin invite au farniente, qu’il enrobe de charme tropical. La décoration est à la fois rustique, soignée et détendue. Bref, facile à vivre. L’équipement est de bon niveau. Au restaurant, on sert cuisine nationale et internationale. Le savoir-faire des équipes donnant aux assiettes une pointe de sophistication bienvenue.
Déjà prévu au programme - Le lac Atitlan et ses villages mayas. Avec ses trois volcans, le lac est l’un des plus beaux paysages d’Amérique, et peut-être du monde. De nombreux villages mayas sont installés sur ses berges : Santiago Atitlan, San Antonio Palopo, San Pedro La Laguna, San Juan La Laguna, Santa Catarina Palopo, etc. Plutôt que par la route, on les rallie à bord de petites embarcations qui font taxi. Si tous partagent une même civilisation, ils ont chacun son caractère propre, comme les cultures en terrasses de San Antonio Palopo, les tisserands de San Juan, les caféiers de San Pedro. Pendant une demi-journée, on découvre trois de ces communautés.
Ensuite, retour au transat. Ou, par exemple, visite en solo de Panajachel, qui sert de centre administratif au secteur. On y trouve boutiques, bars et restaurants. A la Casa Kaqchikel - bel hôtel de 1948 méticuleusement restauré - un formidable musée de la photographie guatémaltèque. L’ample façade de l’église Saint François d’Assise, XVIe siècle, vaut elle aussi le déplacement.
Route pour Antigua via Chichicastenango, dont le marché regorge de tout. D’abord, de la couleur. Des parfums aussi. Des marchandises en pagaille. C’est l’un des plus actifs de l’Altiplano. Et l’un des plus étourdissants. Les indiens y viennent des quatre coins du pays maya.
Installation pour trois nuits dans un hôtel du centre, construit en 1926. Bâtiment de plain-pied. Ravissant jardin tropical encadré de galeries où l’ombre est propice à la sieste. Les chambres affichent une élégance mésoaméricaine soignée et procurent une agréable sensation d’intimité. Les tons jaune, ocre, rouille, beige dominent. Salles de bain contemporaines, très confortablement équipées. L’atmosphère de la salle à manger où l’on prend le petit déjeuner prolonge celle des chambres. Pavage ancien, meubles de bois sombre, portes ouvrant sur le jardin.
En option - Chichicastenango like a friend ; le rite de Pascual Abaj.
Encerclement de volcans : l’Agua, 3761 mètres, le Fuego, 3764 mètres, et l’Acatenango, 3977 mètres. Le panorama y gagne, mais rappelle encore que les remuements telluriques ont coûté à Antigua sa place de capitale. Après le tremblement de terre de 1773, les autorités ont renoncé et déplacé les organes de gouvernement. En revanche, c’est en partie cela qui vaut aujourd’hui à la ville son classement au patrimoine mondial de l’Unesco. Elle est restée proche de son état d’alors. Restaurée sans remise en question de ses fondamentaux. Une cité coloniale espagnole, disposée en damier à partir de sa Plaza de Armas. Les bâtiments de valeur ne manquent pas, Renaissance, baroques, publics ou privés. L’intérieur blanc de la cathédrale Saint Joseph, 1680, invite au recueillement ; les arcades du palais des Capitaines et celles de l’hôtel de ville, à l’intrigue ; les cellules du couvent des Capucines, à la simplicité. On se promène porté par un certain romanesque ultramarino.
En option - Ascension du volcan Pacaya.
Prise de contact avec le chauffeur-guide francophone. Route pour Copan, Honduras. Installation pour deux nuits à Copan Ruinas, dans un hôtel de style colonial, avec galerie sur rue et cour pavée. Les aménagements sont simples mais soignés. La décoration recourt largement à l’artisanat régional et aux motifs préhispaniques. On retrouve les couleurs chaudes dont l’Amérique centrale use si volontiers. Les chambres fournissent un confort nominal mais réel. Le petit déjeuner est servi sur place.
Déjà prévu au programme - Macaw Mountain. Non loin du site archéologique, ce parc ornitho recueille et donne à observer dans des conditions presque sauvages des oiseaux échappés au commerce illégal ou confiés au centre par des propriétaires encombrés. Leurs couleurs, leur grande taille, leur notoriété ont fait des aras les vedettes du domaine. On se laisse pourtant séduire par d’autres, comme le toucan tocard, la conure aztèque, l’ortalide chacamel, la pénélope pajuil ou le grand hocco.
Déjà prévu au programme - Le centre cérémoniel, le musée de sculpture, les tunnels des archéologues. Copan fut au VIIe siècle l’une des plus puissantes cités du monde maya. Ce qu’il en reste aujourd’hui témoigne avec éloquence de cette éminence. Le groupe principal notamment, avec son agora, ses bâtiments cultuels, son jeu de balle, l’escalier monumental (comportant sur ses contremarches le plus long texte maya connu - et un sacré défi pour les épigraphistes). Un cosmos d’architecture. Le musée de sculpture regroupe les stèles, bas-reliefs, autels les plus représentatifs. Les archéologues ayant désiré savoir sur quoi s’asseyait Copan, ils ont creusé des tunnels dans l’épaisseur du site, afin d’en évaluer les soubassements. Deux de ces galeries peuvent être visitées. Un guide anglo-hispanophone vous accompagne une demi-journée sur place.
Route pour Rio Dulce. De là, on rejoint le Guatemala et Livingston, en pirogue à moteur à travers le parc national, par le Rio Dulce et le Golfete Dulce.
Déjà prévu au programme - Billet pour le site de Quirigua. Avant de rejoindre Livingston, visite de Quirigua, qui a brillé aux VIIIe et IXe siècles dans la vallée du Motagua. De l’âge d’or, de hautes stèles royales sculptées avec un art virtuose. Des blocs de roche aussi, couverts de bas-reliefs. Une cité de second rang qui a su, pour quelques décennies, saisir sa chance sous un souverain audacieux.
Nuit à l’embouchure du Rio Dulce. Les chambres donnent sur le large. Elles sont simplement aménagées et relevées de couleurs vives. On y a ce qu’il faut d’atmosphère créole, de brise, de ventilateur pour se sentir raccord. Le principal étant, bien entendu, le grand jardin avec piscine et la plage privée. Palmiers partout. Au restaurant, les chefs accommodent poissons et fruits de mer à la mode du pays. Le bar fait honneur à la tradition cocktail des Caraïbes. Et les massages proposés par la maison viennent à bout de toutes les fatigues.
Retour en pirogue à Rio Dulce, puis route pour Flores. Installation pour deux nuits au bord de la Laguna Petenchel. L’architecture de l’hôtel est moderne, élégante et légère. Joliment intégrée aux abords mi-eau mi-jungle. Biches des palétuviers et pécaris sont chez eux sur le domaine. Pour les visiteurs, un confort de qualité : matériaux naturels dans les chambres comme dans les parties communes, luminosité, espace. Plus un service à la hauteur. Les fourneaux pratiquent une cuisine internationale augmentée d’effets locaux. La piscine triangulaire sous palmiers est tout ce qu’il faut. Le bar fait un centre opérationnel épatant. Pour partir en balade, on peut louer des vélos sur place.
La vieille ville de Flores n’est pas simplement au bord, mais sur le lac Peten Itza. Elle mérite mieux qu’une attention distraite.
Déjà prévu au programme - Tikal et le musée Morley en privé. Tikal fut le centre d’un royaume maya puissant. Les travaux de construction majeurs ont commencé ici vers 400 avant J.-C., puis la ville a été occupée jusqu’au Xe siècle. Aujourd’hui, c’est un site archéologique de premier plan, particulièrement bien mis en valeur. La grande place, au centre du dispositif, impressionne par sa densité monumentale : deux temples et deux acropoles, dont le calcaire gris tranche sur le vert de la forêt. On réalise le prestige dont bénéficiait ce centre politique, religieux, économique, qui a entretenu des relations tumultueuses avec Teotihuacan, la métropole de la vallée de Mexico. Et la visite continue. Et on s’ébaubit de plus en plus. L’ampleur de la réalisation, son esthétique virtuose, son équilibre laissent admiratif. Le musée Morley présente les objets mis au jour pendant les premières campagnes de fouille des tombes royales. Complément indispensable. Journée de visite accompagnée par une guide francophone privé.
Transfert par la route à Belize City. En chemin, arrêt sur le site maya de Yaxha (rare nom de ville parvenu inchangé jusqu’à nous de l’Antiquité maya). Cette cité importante à la période classique moyenne a été ensuite le souffre-douleur de Naranjo, distante d'à peine vingt kilomètres, dont l’attitude a été constamment agressive. Aujourd’hui, Yaxha frappe par l’ambition que dénotent ses vestiges. Le domaine est vaste, puissamment fourni de monuments.
Nuit dans une maison blanche et nette à deux pas du front de mer. Quartier résidentiel. Dans le jardin fleuri, un agréable jacuzzi. La brise de mer émousse le mordant du soleil. Les chambres sont sans chichis mais confortables, décorées avec une simplicité charmante. Les tropiques ici sont aimables. Un petit déjeuner généreusement servi vous donne de l’énergie pour une bonne partie de la journée.
Déjà prévu au programme - Belize City et Altun Ha. Belize City est la plus grande ville du Belize, ce qui n’en fait pas une mégalopole. Elle a un charme composite certain, entre architecture moderne - le Bliss Institute par exemple - et maisons de bois sur pilotis (à Fort George). Le Swing Bridge est une belle réalisation technique venue de Liverpool dans les années 1920 et toujours utilisée, ce qui en fait le plus vieux pont de sa catégorie en Amérique centrale. St. John’s Cathedral anglicane étant un autre monument historique important. Altun Ha, que l’on visite aussi avec son guide anglo-hispanophone, était une ville maya tributaire de Tikal. Un trésor de jade y a été découvert.
Avion-taxi pour San Pedro sur Ambergris Caye. Installation pour trois nuits dans un petit resort familial au bord de l’eau. Les cabanas sont construites à la tahitienne en matériaux naturels. La vôtre, à quelques enjambées de la plage, donne sur les bougainvilliers, les lys, les hibiscus du jardin. L’aménagement et la décoration parlent de vie simple et gaie. Au restaurant, la cuisine a toutes les couleurs et les saveurs éclatantes que l’on associe aux Caraïbes. Piscine, beach spa, ponton d’où partent les bateaux vers les sites de plongée, rien ne manque au dispositif plaisir.
Sans doute n’est-il pas très utile de détailler ce que l’on peut faire sur la plage, c’est assez naturel et on exploitera largement la situation. Profitons-en pour souligner que, par ses dimensions et la diversité de ses récifs, la barrière de corail du Belize est la première de l’hémisphère nord. Elle est désormais l’objet de soins attentifs, qui la maintiennent dans un état de conservation remarquable. Elle doit certains de ses profils au prolongement sous-marin du karst, dont on tient une forme caractéristique avec les cénotes. La belle santé des coraux est l’un des indicateurs de celle de l’ensemble de l’écosystème. Les tortues - verte, caouanne, imbriquée - sont nombreuses à brouter les herbiers, à se régaler d’éponges ou de méduses. Autour des récifs, des algues unicellulaires au grand requin marteau, la vie multiplie indéfiniment les couleurs et les formes. C’est une façon d’enchantement que d’ajuster un masque et de plonger la tête dans l’eau. Avec un simple tuba ou avec des bouteilles, les spots des cayes suscitent des émotions que l’on partage avec bonheur une fois regagné l’hôtel.
Avion-taxi pour Belize City. Vol retour.
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