Iles Vierges britanniques

Îles Vierges, virgin paradise

Îles Vierges, virgin paradise

Éparpillées entre Saint-Martin et Puerto Rico, réparties entre territoires britanniques et américains (l’archipel compte également quelques îles espagnoles), les Îles Vierges entretiennent le mythe. Au fond, peu importe si le port de Charlotte-Amélie, capitale des îles Vierges américaines ancrée sur l’île de Saint-Thomas, est désormais la destination n° 1 des paquebots de croisières débarquant chaque année plus d’un million et demi de visiteurs… À un jet de noix de coco, une poignée d’îles préservées et une centaine d’îlots inhabités méritent largement leur nom. Si Colomb les baptisa Îles Vierges (malgré la présence de tribus) dépité de ne pas y trouver d’or, cinq siècles plus tard, la forêt de Tortola, la mangrove de Beef Island, les perles de rocher gris de Virgin Gorda, les fonds marins d’Anagada sont bien les trésors des « Virgin ». Sans compter les plages éblouissantes, la nature généreuse et un tourisme intelligent, ouvert aux yachts, palaces et bains de champagne mais qui réserve la part belle aux bars à rhum et aux cabanons de bois flotté préférant la caresse du ventilateur à l’air conditionné. Ajoutez-y des histoires de pirates et d’esclaves, une note de vieil empire, le bon goût de la soupe de butternut, du red snapper grillé et du cherry crush, le tout rehaussé d’ambiance créole : It’s a (virgin) paradise !