Jour 1
Vol pour Auckland
Vol international via Singapour. Nuit à bord, arrivée le lendemain.
Jour 2
Auckland
Transfert privé et installation pour deux nuits en plein centre d’Auckland, dans le quartier des affaires. Construit en 1912, le bâtiment principal a gardé le caractère et le charme de son passé, dans un décor moderne. Les chambres sont confortables et sobrement décorées dans des teintes naturelles. Idéal, pour récupérer d’un long voyage. On a par ailleurs sur place tout ce qu’il faut pour se remettre sur pied : une petite salle de gym ouverte jour et nuit, un café au sympathique look industriel et une table de billard.
Vous êtes au cœur du secteur du CBD, où restaurants et bars à la mode ne manquent pas, et à quelques pas de Viaduct Basin à l’atmosphère plaisance chic. On se trouve donc « là où ça se passe » dans la City of Sails. Le New Zealand Maritime Museum est à quelques encablures : des hommes à la mer, des marins maoris aux grandes heures de l’America’s Cup. Pas loin non plus, le vieil Auckland Domain et les belles serres tropicales des Wintergardens, qui datent des années 1920. L’atmosphère mi-branchée mi-canaille de Karangahape Road ou celle plus artiste de Ponsonby emballent. Les amateurs de rugby ne manquent pas de se rendre à l’Eden Park, au sud-ouest du quartier des affaires. On peut grimper sur le mont Victoria, pour se donner sur tout ce paysage une vue plongeante et complète. Le soleil jette les Aucklanders sur les plages de Waitemata Harbour. En fait, on découvre rapidement que, si Auckland apparaît régulièrement au premier rang des villes où il fait bon vivre, il y a de bonnes raisons à cela !
Prise en charge de la voiture de location et route pour Taupo. Installation pour trois nuits à Acacia Bay. Un joli jardin fleuri entoure le cottage. Dedans, chambres et parties communes déclinent une élégance à l’ancienne très agréable. Les premières offrent de l’espace, des literies avec couverture chauffante. Les secondes sont accueillantes et marquent une simplicité de bon goût. L’humeur positive et les attentions des propriétaires contribuent au plaisir du séjour. Ces agréments se trouvent à dix minutes à pied du bord du lac.
Afin de préserver leurs sites tabous, les Maoris ont fait don à la couronne britannique, contre une garantie de non exploitation, des volcans Tongariro, Ruapehu et Ngauruhoe. Le parc naquit ainsi en 1887. Aujourd’hui, c’est la Terre du milieu. Du moins, depuis que Peter Jackson y a tourné sa version du Seigneur des Anneaux… Les oiseaux abondent : communs ou, comme l’hyménolaime bleu et le kiwi de Mantell, plus rares, pour emblématiques qu’ils soient. On marche ici dans des paysages qui ont gardé une netteté d’aube. Chemins soigneusement balisés et formules multiples, de la simple promenade à la longue randonnée. Escalade, VTT, rafting, canoë, survol en avion sont aussi des options. L’hiver, on skie sur les pentes du Ruapehu.
Déjà prévu au programme - Survol en hydravion des volcans du Tongariro National Park. Embarquement pour un vol à grand spectacle au-dessus des trois volcans gris : 1987 mètres, 2797 mètres et 2291 mètres. Tout cela actif à des degrés divers. Le petit hydravion est un excellent moyen d’apprécier l’ampleur de ces formations où le centre de la terre vient à sa surface. En annexe, la balade permet de voir du ciel quelques décors naturels majeurs du film de Peter Jackson.
Déjà prévu au programme - Le site géothermique Orakei Korako. Au nord de Taupo, la vallée cachée décline une palette chromatique. Vert jade, moutarde ou citron, noir, rose saumon, bleu roi, la terre et l’eau y touillent vigoureusement les couleurs. Là-dessus dérivent les paquets de vapeur que chargent chutes d’eau et geysers. Diamond Geyser, le plus célèbre des trente-cinq que compte le site, gicle par intermittence jusqu’à neuf mètres de haut. Les champs géothermiques ne comprennent pour ainsi dire jamais de grotte ; il y en a pourtant une ici, Ruatapu Cave (qui constitue donc une curiosité rare). Le billet donne accès à la partie aménagée du parc - sentiers, escaliers, passerelles, pour une visite libre.
Route pour l’aéroport de Rotorua, restitution de la voiture et vol pour Christchurch. A l’arrivée, prise en charge d’un second véhicule de location et installation pour deux nuits dans la maison édifiée en 1874 pour le Reverend James West Stack. Construite en bois de kaori et de totara, elle est pleine de sérénité british. La décoration intérieure, toute de retenue confortable, respecte les canons du genre. Le jardin, lui, est héritier d’une longue lignée de sécateurs. On s’y repose agréablement sous de grands parasols blancs. Le Canterbury Museum (zoologie, ethnologie, histoire…) ou le jardin botanique sont à portée de promenade.
On profite de la voiture pour gagner la belle péninsule de Banks, où se trouve un ancien village baleinier français (XIXe siècle) : Akaroa. Plaques de rue et quelques traits d’architecture - la maison Langlais-Etevenaux, par exemple - rappellent cet ancien port Louis-Philippe, toléré par les Britanniques dans les années 1840. Au cours d’une navigation le long de côtes très découpées, vous pouvez observer le très rare dauphin d’Hector, un cétacé poids plume, des otaries à fourrure ou le manchot pygmée, little penguin, que les Néo-Zélandais appellent encore blue penguin du fait de son plumage cobalt. La péninsule est aussi un domaine propice aux marcheurs : une vingtaine de parcours de randonnée ont été aménagés dans le bush et les ajoncs de Hinewai Reserve.
En option - Voyage à bord du train TranzAlpine.
Route pour Twizel et installation pour deux nuits quelques kilomètres au nord-ouest de là, au sein d'un lodge orienté nord - question de point de vue sur les Alpes du Sud. Un étang s’étend devant la maison et ajoute à la sérénité du lieu. Les installations sont lumineuses, pratiques, confortables. Une élégance sans artifices permet aux hôtes de s’abandonner à une paresse rêveuse. Le petit-déjeuner se montre à la hauteur de l’excellent niveau national : copieux, frais, home made. Les séances de contemplation s’accompagnent d’un verre de vin, qui leur donne du bouquet.
Comme en maint secteur du sud, on randonne ici de toutes les façons et l’on utilise les plans d’eau (Lake Ruataniwha, notamment) pour faire de la voile, du ski nautique ou du canoë. Cependant, le bassin de Mackenzie, faiblement peuplé, a une particularité : son ciel limpide. La région fait partie de l’Aoraki Mackensie International Dark-Sky Reserve. Le soir, il n’est donc pas question de se coucher comme des poules. Les occasions se raréfient désormais d’une observation sans voile du ciel nocturne. Les paysages du lac Pukaki, avec le mont Cook en point de mire, ravissent par leur ampleur, leur harmonie et une étonnante palette de couleurs.
En option - Survol en hélicoptère du glacier Tasman.
Route pour Queenstown et installation pour deux nuits sur les hauteurs de la ville. On a vue sur un très beau paysage néo-zélandais : le lac Wakatipu et la chaîne des Remarkables. L’hôtel, moderne, affiche un esprit country house sympathique. Les chambres sont simples et fonctionnelles. Au salon, sièges en cuir et cheminée de pierre. Au menu du petit-déjeuner, des ingrédients bio préparés à la néo-zélandaise. Quant à l’hôtesse, elle reçoit à merveille.
Queenstown est la ville aventure n°1 en Nouvelle-Zélande. Toute l'année, on y pratique assidûment ski, snowboard, VTT, raft, randonnée, pêche à la mouche... Ou encore parapente, parachutisme, saut à l’élastique - pour prendre de la hauteur. Et toujours dans un environnement époustouflant.
Déjà prévu au programme - Bain avec vue, en privé. L’établissement est établi au flanc d’une falaise au-dessus du canyon de la Shotover River. Les bassins, aménagés à la manière japonaise, sont emplis d’une eau limpide dont on peut soi-même contrôler la température. Vous jouissez dans votre cabine d’une intimité complète et d’un panorama sur la Shotover. Le toit ouvrant permet d’ajuster l’atmosphère du bain aux conditions météo.
En option - Une croisière dans le fjord de Milford Sound.
Route pour l’aéroport et restitution de la voiture avant de s’envoler pour Auckland. Nouveau vol vers Nadi, dans les îles Fidji. A l’arrivée à l’aéroport, accueil et assistance puis transfert privé vers Denarau où vous passez la nuit. Votre appartement est moderne et confortable, et décoré de manière à plaire au plus grand nombre. Si l’on a le temps, et l’envie, on pourra faire quelques brasses dans la piscine ou passer par la salle de gym.
Traversée pour Matamanoa à bord d’un catamaran (1h30). Installation pour trois nuits dans un "bure" au bord d’une plage de sable blanc. Le bungalow fidjien traditionnel a pris un tour design et coloré qui lui va à ravir. Il est équipé impeccablement et offre tous les moyens de jouir de la situation : bassin privé, daybed, douche extérieure, terrasse couverte, etc. Le restaurant est, bien entendu, ouvert à la lumière et à la brise marine ; on y sert une cuisine où se croisent répertoire fidjien et classiques internationaux. D’Island Affair à Voroki Au, les cocktails s’accordent aux variations mordorées du couchant. Le spa maison répond aux meilleurs standards du bien-être, avec cette douceur et cette aménité qui ne sont possibles qu’aux Fidji.
Que faire ? Ne rien faire d’abord, ne rien brusquer. Se laisser pénétrer de la beauté de l’île, un cône volcanique qui sort la tête de l’océan juste ce qu’il faut pour porter un panache de végétation d’un vert intense, un col de cocotier, une frange de sable fin. Dans l’eau transparente, les coraux se montrent dans toute la vigueur de leurs efflorescences. Les poissons vont et viennent avec un naturel éblouissant. Masque et tuba permettent d’y regarder de près. On peut aussi faire quelques longueurs dans la piscine longiligne de l’hôtel. Le tennis est sur gazon, tradition anglaise. Sur la plage, parties de beach volley, beach cricket ou beach pétanque… A moins que l’on préfère s’essayer au coconut bowling ! Les sorties en mer mènent à de superbes spots de plongée ou sur d’autres îles enchantées. Et la culture océanienne fournit de bons motifs d’étonnement. On ne s’ennuie pas au paradis.
Traversée retour vers Denarau à bord d’un catamaran. Dernière nuit dans le même hôtel qu’à l’arrivée aux Fidji.
Transfert privé à l’aéroport de Nadi et vol retour via Singapour. Nuit à bord, arrivée le lendemain.
