Ciao Bella - Après Rome, au cœur de l’Italie, le Latium

Ville éternelle des peintres et des amoureux, capitale de marbre d’un empire aux frontières illimitées, Rome est pourtant restée une cité à taille humaine, parsemée de parcs et de jardins ombragés, de placettes aux fontaines joyeuses et aux échoppes volubiles.
Au programme - Rome dans les pas d'un local. Être Romain, voilà ce que vous propose votre accompagnateur francophone. Pour habiter en ville, il la connaît comme sa poche, en maîtrise les codes et va vous faire profiter de cette expérience terrain. Pourquoi ne pas commencer par un café-brioche ? Avant de poursuivre au marché aux fleurs du Campo de’ Fiori ? Après tout, c'est comme vous voulez, rien n'a été établi d’avance, sinon que ce serait détendu et amical.

L'aventure "Rome à contre-courant" continue. Après avoir été introduit auprès de la cité par un Romain d'aujourd'hui, l'heure est à la découverte de ces quelques recoins insolites dont regorge la capitale italienne, à l'image du quartier de Coppedè. Blottie au nord-est de la ville, la zone imaginée par l'architecte Gino Coppedè est un chef-d'œuvre d'éclectisme et aligne constructions Art Nouveau, baroques, gothiques ou encore médiévales. Au nord s'épanouit l'un des plus grands parcs de Rome, le jardin de la Villa Ada. Peuplé de pins, de chênes, d'oliviers et d’espèces tropicales, il dissimule quelques trésors tels la Palazzina Reale ou le Temple de Flora.

Transfert privé pour l'agence de location et prise en main du véhicule. Route vers le nord direction Viterbo à travers des étendues vertes parsemées de grands lacs. À l'arrivée, installation pour deux nuits en plein cœur de la cité. L'entrée de l'hôtel se remarque à peine entre les pierres de la ruelle pavée. Passée le porche, une succession d'arcs se dessine, invitant à s'aventurer au fil des intérieurs savamment pensés de cette adresse. Dans les parties communes, les lignes modernes de la décoration surprennent, créant des espaces cosy parsemés de petits fauteuils.

Déjà prévu - Viterbo en privé. Chef-lieu de la province du même nom, Viterbo déploie, au sommet de sa colline, un patrimoine culturel riche, héritage de ses résidents successifs. Les Étrusques ont tôt fait de s'y établir et d'y fonder un véritable centre urbain, du nom de Surina, avant que le site ne soit conquis par des Romains empressés d'effacer toute trace du passé. Quelques siècles plus tard, la localité se remet à briller lorsqu'elle devient siège de la papauté. À Viterbo plus qu'ailleurs, les portes s'ouvrent sur des chemins d'art et d'histoire ; vous les franchissez en compagnie d'un guide francophone privé, à même de vous en livrer les clefs.

Route pour Ladispoli, posée sur la côte Tyrrhénienne. Le véhicule fend l'arrière-pays jusqu'à se heurter au littoral, qu'il coudoie ensuite tranquillement jusqu'à destination. À l'arrivée, installation pour deux nuits dans une demeure de 1640, ancienne dépendance du château-forteresse d'une des plus anciennes familles romaines. Entre un parc verdoyant aux plantes exotiques et le bleu de la mer, l'heure est à la contemplation, enveloppé par les senteurs méditérannéennes. Le mobilier dans les pièces communes et les chambres est d'époque Renaissance. Parquet, grande cheminée, tableaux, pierre apparente se mêlent au luxe et au confort certain.

À voir, à faire - Partir s'étendre sur la plage privée, les doigts de pied en éventail, le soleil qui réchauffe la peau ; comparer la température de la mer à celle de la piscine intérieure de l'hôtel ; s'abandonner aux soins experts du spa ; s'enivrer de couleurs et d'odeurs dans l'opulent jardin ; s'échapper à vive allure sur la côte pour oublier que l'on vit ses dernières heures en terres italiennes.
En option - Tarquinia, à 40 minutes de Ladispoli, en privé.