Idée voyage 100% personnalisable
Inde - Delhi - Ladakh
Suggestion 100% personnalisable selon vos envies
Transfert. Et nuit non loin de l’aéroport, dans un hôtel moderne répondant avec une certaine élégance fonctionnelle à sa vocation utilitaire. Les chambres sont très correctement équipées, une salle de gym permet de se refaire une souplesse après le vol et le restaurant, de passer en douceur au régime indien. Dans le grand jardin, un bassin, où l’on peut nager vraiment. Un entre deux vols confortable.
Transfert à l’aéroport et vol pour Leh. Transfert et installation à Stok, sur la rive gauche de l’Indus, dans un palais des souverains de la dynastie Namgyal. Construite en 1820 et maintenue dans un état de conservation exceptionnel, cette forteresse est un splendide exemple d’architecture des hautes vallées de l’ouest himalayen. L’abord sévère de l’édifice cache des aménagements intérieurs complexes, un travail du bois virtuose et une vibrante palette de couleurs. Le palais comprend aujourd'hui un musée et la partie hôtelière. Celle-ci a, bien entendu, gardé tout le cachet ancien, y ajoutant seulement les indispensables commodités contemporaines, dont des salles d'eau performantes. Les chambres sont un vrai dépaysement et une leçon d’art décoratif ladakhi. Les vues que l’on a sur les hauteurs du Zanskar laissent méditatif. Les chefs maison font, avec des ingrédients que leur fournissent les marchés des alentours, une cuisine délicieuse, qui puise aux traditions du Ladakh, du Tibet et de l'Inde. Tout cela est proprement royal.
Déjà prévu au programme - Le vieux Leh. La route de la soie passait par là. Le centre historique de Leh en est d’ailleurs l’un des rares relais tibétains subsistant. On se promène dans les rues ocre, que bordent des maisons en adobe et où les trekkeurs ont remplacé les caravaniers d’antan. On va jusqu’au gompa (établissement religieux fortifié) de Sankar pour la puja, l’offrande au Bouddha ; et au bazar, près de la mosquée Jama Masjid (mosquée du Vendredi, XVIIe siècle).
Déjà prévu au programme - Avec son chauffeur-guide, départ de bon matin pour le monastère de Thiksey, qui pourra, à bon droit faire penser au Potala de Lhassa. Ce gompa Gelugpa (école scripturaire, bonnet jaune) est le plus vaste du Ladakh ; il abrite des moines, mais aussi des moniales. On y assiste à l’office du matin. Thiksey est renommé pour ses peintures murales et ses tankas (peintures sur toile). La position offre en outre un panorama exceptionnel sur la vallée de l’Indus. L’heure est alors venue d’un petit déjeuner champêtre au café Cloud. Autour du thé, on partage ses premières impressions avec le guide. Et puis, on remonte en voiture pour se rendre au monastère de Hemis, édifié au XVIIe siècle. C’est le gompa principal de l’école Kagyüpa Drukpa (école de tradition orale, bonnet rouge) au Ladakh. Les bâtiments qui forment la cour intérieure portent de splendides galeries et huisseries de bois peint. On relève au passage les peintures représentant les mahâsiddhas, ascètes bouddhistes non conventionnels. En plus de tankas superbes, le musée du monastère éclaire sur les principes et symboles du bouddhisme tantrique. Suit un pique-nique au bord de l’Indus. Ça n’a l’air de rien mais, mastiquer au bord de l’Indus, ça vous fait entrer dans l’intimité du pays. Rappelons que le fleuve coule du mont Kailash à la mer d’Oman et donne son nom à l’Inde. On ne casse pas la croûte sur n’importe quel lit ! Le monastère de Stakna (XVIe siècle), que l’on voit dans l’après-midi, est admirable, serré au sommet de sa butte rocheuse. Ce nid d’aigle Drukpa recevait la famille royale dans des appartements tout à fait à la hauteur. Il abrite encore l’une des plus riches bibliothèques du Ladakh.
Déjà prévu au programme - Spituk est un site monastique depuis le XIe siècle et, depuis le XVe, un établissement Gelugpa. Ce gompa abrite une importante statue de Palden Lhamo, déesse tutélaire du Tibet. C’est un dharmapâla, figure de fureur, protectrice du bouddhisme et des bouddhistes. Nouveau panorama gris pâle et vert de la vallée de l’Indus. Puis descente à pied vers le village, en empruntant les chemins d’exploitation. On retourne déjeuner au bord du fleuve, dont on est désormais familier. Les échanges sous les arbres avec le guide sont l’occasion de parfaire son éducation himalayenne. Retour à Stok et visite de la partie muséale du palais. Les collections documentent un art de vivre disparu, dont la sophistication et la singularité étonnent.
Route pour Nurla. Installation pour deux nuits à cinq cents mètres du village. L’hôtel se trouve sur une pente dont le pied plonge dans l’Indus. L’architecture met au goût du jour l’héritage régional. Les chambres sont simples et nettes, confortables, bien équipées. Ces qualités se retrouvent dans la salle à manger. Où l’on goûte une cuisine du Ladakh fort bien faite. Pour plus d’authenticité encore, ces plats peuvent être partagés dans la kitchen traditionnelle. La cour de la maison est un lieu de détente et de repos très agréable, presque un verger, où sont plantés pommiers et abricotiers. A la bonne saison, on cueille les fruits sur les arbres (mais, si on est là pour la floraison, ce n’est pas mal non plus). Des sessions d’initiation au yoga sont organisées sur place.
Déjà prévu au programme - Les origines du monastère Lamayuru, de tradition Kagyüpa Drikung (école de tradition orale, bonnet rouge), remontent au XIe siècle. La sainteté du site en avait fait un lieu de grâce : les plus endurcis malandrins échappaient à la mort pourvu qu’ils y soient parvenus. Les pactes s’y négociaient. Les musulmans du Cachemire en ont toujours respecté l’intégrité. Ce sont les tensions entre hindouistes et bouddhistes qui ont provoqué la mise à sac du monastère par les troupes du roi de Jammu en 1834. Les bâtiments actuels datent du début du XXe siècle ; ils abritent deux cents moines. On visite ensuite le joli village de Temisgam, dans la vallée du Sham. La balade dans les champs d’orge fait lever des perdrix. C’est ici, au château Tingmosgang, qu’un traité a fixé, en 1684, la frontière toujours actuelle entre le Tibet et le Ladakh.
Route pour Nimmu. Installation pour deux nuits dans une demeure noble construite au début du XXe siècle. La restauration transformation en maison d’hôte est exemplaire. Les meilleurs experts et artisans y ont participé. Elégance rustique, authenticité, charme aristocratique, tout est juste, harmonieux. Autour, un immense verger. Près, une grande terrasse herbeuse où sont des transats. On prend ses repas sous la ramée, quand il fait beau ; dans la vieille cuisine, quand le temps menace. Les ingrédients dont sont faits les repas sont bio de facto. Le chef sait où se fournir dans les environs. On a sa chambre dans la maison, ou sa tente, dehors. Ici ou là, les conditions sont excellentes, the Ladakhi way. Gestion responsable et promotion de la culture du Ladakh guident le management. Parmi les activités possibles sur place, l’initiation à la confection des momo (les ravioles tibétaines) se signale par sa pertinence.
Déjà prévu au programme - Déployé sur une éminence, le gompa Likir a été fondé au XIe siècle. Il a illustré la vieille tradition Kadampa, dont sont héritières les écoles Gelugpa (actuelle dépositaire) et Kagyüpa. C’est le bodhisattva de compassion Avalokitesvara qui accueille les visiteurs. En classe, la relève monastique s’imprègne des textes sacrés par la lecture collective à haute voix. Au musée, belle collection de tankas anciens. Le monastère d’Alchi, administré par Likir, a lui aussi été fondé au XIe siècle. L’influence cachemirie est nette dans les trois édifices principaux, le Dukhang (grande salle), le Sumsteg (dont la fonction est douteuse) et le temple du bodhisattva Manjushri. Les murs sont ornés de quelques-unes des plus anciennes peintures murales du Ladakh. Les sculpteurs sur bois et sur pierre qui ont travaillé ici ont bien mérité de leur art : leurs œuvres déroutent et fascinent comme le gothique flamboyant. Certains chortens datent du XIIIe siècle, ces édifices à la symbolique complexe sont typiques du bouddhisme.
Transfert à l’aéroport de Leh et vol pour Delhi. Votre établissement construit en 1931 est une légende. Du Raj britannique, et de l’hôtellerie. Le luxe déployé dans les salons, les immenses corridors, les salles à manger, les suites, est étourdissant. L’Angleterre a reçu là les têtes couronnées ; y a négocié l’indépendance du Pakistan ; en a mis plein la vue aux voyageurs du monde entier. Et l’Inde moderne a hérité de cette grande machine à éblouir, qu’elle a méticuleusement maintenue en ordre de marche. Les collections d’art colonial de l’hôtel sont les plus importantes du pays. Elles s’offrent aux hôtes avec aplomb. The Spice Road, le restaurant principal, est un enchantement. Par sa décoration et par une cuisine d’Asie du sud à nulle autre pareille. Chefs et marmitons sont des as dans leur domaine. On fait à table un voyage dans le voyage. Terminer à Janpath un séjour en Inde, c’est être un voyageur éclairé.
Transfert à l’aéroport et vol retour.
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