Idée voyage 100% personnalisable
Téhéran - Kashan - Ispahan - Yazd - Shiraz
Suggestion 100% personnalisable selon vos envies
Transfert et installation pour 2 nuits dans un hôtel du centre. Un établissement moderne, qui ne recule ni devant le pittoresque persan, ni devant le glamour excessif. Sous le décorum, les conforts et le service sont néanmoins bravement assurés : les chambres sont confortables, le restaurant iranien est correct, la piscine bleue et le barbier affûté. La boutique caviar et fruits secs aligne joliment ses boîtes à plaisirs.
A voir, à faire - La capitale iranienne n’a pas le lustre d’anciennes cités comme Shiraz ou Ispahan, mais c’est une ville pleine de vie qui fait de sa jeunesse un atout. Elle possède néanmoins de beaux monuments d’époque Qadjar (1786-1925), comme le palais du Golestan, inscrit au patrimoine mondial de l’UNESCO. Le bâtiment néo-sassanide du musée archéologique d’Iran (1937) est dû à l’architecte et archéologue français André Godard ; il est consacré aux collections préislamiques du musée national d’Iran. Le petit palais de briques qui abrite les céramiques et les objets de verre du musée Abguineh est typique de l’éclectisme du début du XXe siècle. Enfin, le Musée d’Art Contemporain de Téhéran (TMoCA) abrite une riche collection d’œuvres d’artistes modernes et contemporains, de l’impressionnisme au pop art, tout récemment sortie des réserves, où l’avait reléguée les mollahs ldepuis la révolution islamique de 1979 : Van Gogh, Toulouse-Lautrec. Monet, Warhol et Bacon : ils sont tous à Téhéran !
Route pour Kashan. Installation pour 2 nuits dans une belle maison qâdjâre en face de la mosquée Agha Bozorg. Demeure historique et hôtel de charme, on vit là au plus près des traditions iraniennes. Cours, bassins, tapis, coussins accueillent les visiteurs contemporains comme autrefois marchands et pèlerins. Une adresse intimiste, de quiétude et de raffinement, où l’on apprécie le grand sens du service et l’attention portée aux détails.
Au programme - Visite de Kashan en compagnie d’un guide privé. L’oasis aux portes du désert, fut la plus riche d’Iran - faste et sophistication - son bazar, sa grande mosquée, ses centaines de palais rappellent le luxe passé. Les jardins de Fine, vergers et bassins inclinés, sont conçus comme une vision du paradis. Un peu plus loin, sur les hauteurs de Sialk, les archéologues fouillent les vestiges d’un des premiers foyers de civilisation de l’humanité.
Route pour Ispahan. Installation pour 3 nuits dans un ancien caravansérail safavide du début du XVIIIème siècle, reconverti en hôtel de luxe : un monument historique ; c’est aujourd’hui le plus bel hôtel d’Iran. La cour qui accueillait les chameaux de bât a été transformée en jardin. Les aménagements contemporains ont mis en valeur l’architecture ancienne. Le restaurant se tient dans la belle cour intérieure agrémentée de grands cyprès. On peut aussi s’installer pour une délicieuse pause dans la jolie maison de thé.
Au programme - Visite d’Ispahan, "la moitié du monde", la plus belle cité du pays, en compagnie d’un guide privé. Au XVIIème siècle, Chah Abbas le magnifique en fit sa capitale, fantasmée par tout l’Occident - une ville riche de 180 caravansérails et de 200 mosquées. Place de l’Imam, pur joyau, quadrilatère aux folles dimensions (500 x 160 mètres), vue happée par la splendeur des édifices - les arabesques magiques de la mosquée Cheikh Lotfollah racontent l’ombre et la lumière du soufisme. Mosquée de l’Imam, on entre dans une mer de faïence bleutée. Le palais Ali Qapu est l’une des entrées du grand bazar - où l’on ne manquera pas de se perdre. Un peu plus loin, reliant la ville au quartier arménien, le pont royal enjambe la rivière Zayandeh-rud - deux étages surplombés de 33 arches - où, les soirs de printemps, une foule bruissante vient chercher la fraîcheur.
Au programme - Pour un autre regard sur Ispahan, visite avec une photographe franco-iranienne, native de la ville. Le travail d’Isabelle constitue une forme d’autoportrait qui interroge la culture iranienne. Elle propose de partager sa parfaite connaissance d’Ispahan, appareil au cou et viseur accroché au regard : de la restauration des palais safavides aux rencontres avec les iraniens du XXIe siècle, en passant par la vie des artisans du bazar.
A faire, à vivre - Flâner dans les jardins, où les anciens jouent aux échecs - faire une halte dans une maisons de thé où les ados fument le narguilé en multipliant les selfies - boire un café,à une terrasse à l’ombre des platanes, à Jolfa, le quartier arménien, où l’on a gardé le goût et le savoir-faire pour le café turc - si le soir venu, on vous invite à partager un pique-nique place de l’Imam, acceptez !
Route pour Yazd. Installation pour 2 nuits dans une très belle maison traditionnelle, ceintes de grands jardins luxuriants rafraîchis par des bassins. Une charmante oasis, qui contraste avec la chaleur de la ville.
Au programme - Visite de Yazd avec un guide privé. L’arrivée à Yazd désoriente - vent chaud et sec, architecture de désert, peau mate des passants : on est séduit, mais sans plus trop savoir où l’on est - Inde, Pakistan, Afghanistan, Afrique ? La "bonne et noble cité" de Marco Polo, reconnu par l’UNESCO comme l’une des plus ancienne cité au monde, se protège de la chaleur par une architecture originale : maisons à toit plat, dominées par de hautes tours, les bagdirs - dont le nom signifie littéralement attrape-vent - qui capturent l’air frais qui vient ventiler les foyers, et réseaux de distribution d’eau souterrains, les qanats, qui plongent en sous-sol. Fiancée du désert, cité de solitude, asile des soufis et des savants, Yazd fut aussi, au temps des invasions arabes, le refuge des zoroastriens. A la sortie de la ville, juchées sur deux collines, deux dakhma, ou tours du silence, édifices funéraires sur lesquels, jusque dans les années 70, les morts, considérés par les adeptes de Zarathoustra comme impurs, et susceptibles de souiller les éléments sacrés (feu, terre et eau), étaient déposés au sommet des tours.
A voir - Ne manquez pas d’assister à l’entraînement de jeunes lutteurs en leur zur-khoneh (maison de force) : des garçons chétifs tournent sur eux-mêmes à la manière de derviches, puis font tournoyer au dessus de leurs tête des masses de 40 kilos. C’est une sorte de capoeira chiite, un art martial qui se travestit en danse pour tromper l’ennemi, inventé au moment de l’invasion arabe. Le gymnase se tient dans un ancien réservoir d’eau édifié en 1580, et surmonté de cinq bagdirs, typiques de l’architecture yazdi. Une jolie façon de découvrir un aspect méconnu de la culture perse, en même temps que le sport national !
Route pour Shiraz. Installation pour 3 nuits dans une maison d’hôtes traditionnelle, au cœur du bazar. Une très belle adresse, où l’on se sent comme chez soi - raffinement d’une eau de rose servie très fraîche, au patio, à l’ombre des orangers.
A voir - Shiraz, c’est la ville des roses et des rossignols, c’est aussi celle des poètes Saadi (1207-1291) et Hafez (1324-1389). Splendides mosquées, jardins verdoyants où l’on se régale d’un sorbet à la rose, les Iraniens eux, y viennent en foule pour se recueillir sur le mausolée du poète Hafez - à qui ils confient leurs soucis, et leurs peines de cœur. De vieux sages monnayent leur interprétation des vers du poète, que l’on tire au hasard dans une boîte. Ou en ouvrant un de ces recueils au hasard : « Hafez nous aide à prendre les bonnes décisions ».
Au programme - Persépolis avec un guide privé. A une heure de route de Shiraz, l’antique cité des rois achéménides déploie ses escaliers monumentaux, ses colonnades plantées solitaires vers le ciel, ses peuples pétrifiés sur les bas-reliefs : un choc esthétique. Persépolis, c’est aussi un musée d’ethnologie à ciel ouvert : toutes les nations du monde connu par les Perses sont représentés sur ses bas-relief, qui renseignent sur le vie il y a vingt-cinq siècles. Et un peu plus loin, la nécropole des souverains achéménides, Naqsh-e-Rostam, une autre vallée des Rois - les grands tombeaux cruciformes de Darius et Xerxès se dressent à flanc de falaise, creusés dans la roche.
Au programme - Un cours de cuisine. A rapporter dans ses valises : un petit extrait du savoir-faire culinaire perse, dont on aime tant les saveurs acidulées ! Un tour au bazar pour faire emplettes de noix et de grenade, avant de s’installer aux fourneaux !
Transfert privé à l’aéroport et vol Shiraz-Téhéran, puis vol international retour.
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