Idée voyage 100% personnalisable
Mongolie - Oulan-Bator - vallée de l'Orkhon - parcs nationaux
Suggestion 100% personnalisable selon vos envies
Nuit à bord, arrivée le lendemain.
Transfert privé à votre hôtel, en compagnie d'un guide francophone, pour un premier contact avec la ville. Dans le quartier central de Sükhbaatar, le building est l’un des plus contemporains à occuper le ciel d’Oulan-Bator. Dès le lobby, on constate qu’un certain décorum bon chic bon genre règne. Pur classicisme international, à la surface duquel jouent des références mongoles. Les chambres sont grandes et plaisantes ; la vôtre est disponible dès votre arrivée matinale. De larges baies les ouvrent sur la ville. Trois restaurants principaux : le premier est multipolaire et fusion, le deuxième est doté d’une belle terrasse à pergola et le troisième rôtit le meilleur canard laqué in town. Pour se refaire une santé après le vol, on dispose d’une piscine intérieure, où nager vraiment ; d’une salle de sport, d’un sauna et d’un bain de vapeur. Au bar à vodka, on passe en revue la pléthorique production nationale. Pour le reste de la journée, une voiture privée avec chauffeur et accompagnateur francophone est à votre disposition.
Au programme - La visite privée d’Oulan-Bator. La capitale mongole est marquée par l’architecture soviétique, ce qui ne doit pas effrayer. En compagnie de l'accompagnateur, on y découvre beaucoup de choses intéressantes. Parmi lesquelles, le monastère Gandan. Fondé au début du XIXe siècle, il abrite une statue monumentale, dorée à la feuille, du bodhisattva de compassion Avalokiteshvara. Ou le musée national de Mongolie, qui documente l’histoire et la civilisation mongoles depuis les origines. La section ethnographique restitue, à travers de nombreux objets, une vie nomade en cours de résorption. Visite également du monastère de Choijin Lama, dédié à Choijin Lama Luvsankhaidav, frère du huitième chef bouddhiste et dont le musée présente notamment des masques brodés de coraux pour la cérémonie de la danse Tsam, des statues de dieux en bronze, ainsi que des tankas de soie et de nombreux autres objets.
En option - Le Naadam, 11 et 12 juillet.
Prise de contact avec vos chauffeur et accompagnateur francophone pour les dix prochains jours, et route pour Kharkhorin. Installation pour deux nuits un peu en dehors du village, dans un camp abritant des yourtes plutôt basiques des chalets sur pilotis avec salle de bain privée - c'est dans l'un d'entre eux que vous posez vos valises. Dans l’ensemble, le confort est nominal, mais suffisant. Il y a l’électricité, des douches chaudes, des connexions. Bref, on est dans la nature, mais pas dans le vide. On s’ajuste à la vie de camp : on entre du pied droit dans sa demeure et on range ses affaires comme de vieux nomades. Le chef et son équipe mitonnent une cuisine des familles, qui fournit toute l’énergie nécessaire à la journée.
Au programme - La visite privée du monastère Erdene Zuu. En compagnie de son accompagnateur, on se rend dans le plus vieil établissement bouddhiste Gelugpa (école scripturaire, bonnet jaune) du pays : le bouddhisme des steppes est dans la dépendance du celui des neiges. Fondé au XVIe siècle, le monastère a beaucoup souffert pendant la période communiste. En partie détruit, désaffecté, un temps muséifié, il a été rendu aux lamas après la chute de l’Union soviétique. Les temples anciens, de style chinois, et le mur d’enceinte aux 108 stûpas témoignent de l’insubmersibilité d’une foi. Les deux tortues de pierre que l’on trouve dans les environs marquaient, avec deux autres, les limites de la première capitale des Gengiskhanides, Karakorum (XIIIe siècle). Le musée de Kharkhorin présente d’ailleurs une maquette de la ville disparue, dont les collections rappellent la grandeur et le prestige culturel et politique. Ce sont les guerres de succession et le déménagement de Kubilaï Khan à Pékin qui ont scellé le déclin de Karakorum.
En option - Déjeuner chez une famille mongole et balade à cheval.
La route continue dans la vallée de l’Orkhon. A l’horizon, la succession des longues collines semble répondre au moutonnement des nuages dans le ciel. Installation pour deux nuits dans un camp de yourtes. Les intérieurs ont beaucoup d’allure. Les literies soyeuses inciteraient à la paresse. Les installations sanitaires sont tout à fait convenables. Et ce confort n’est pas tapageur ; il sait avoir une sobriété respectueuse du grand cadre de nature. Lorsque le temps est clair, la nuit a quelque chose de féérique ; avec un télescope, on dégage un peu d’ordre dans cet énorme fourmillement.
Déjà prévue - La visite privée du monastère de Shankh. Ce monastère, fondé au XVIIe siècle, appartient lui aussi à l’école Gelugpa. Son temple principal est distingué par sept mandalas kalachakra - le tantra de kalachakra, de la roue temporelle, tient une grande place dans l’enseignement des bonnets jaunes.
Au programme - Comme Shankh, le monastère Tövkhön a été fondé par Zanabazar, le premier leader bouddhiste des Mongols Khalkhans. Il est établi sur la colline Shireet Ulaan et domine la vallée de l’Orkhon. A l’instar d’Erdene Zuu et Shankh, il retrouve progressivement une activité religieuse après le difficile intermède soviétique. La rivière Ulaan Tsutgalan se jette littéralement dans l’Orkhon, de seize mètres de haut. Ces sont les chutes de l’Orkhon. Si le débit peut être nul au printemps, il est abondant et bouillonnant en été. On y va prendre un coup de frais, écouter le bruit de l’eau, c’est une jolie promenade. L’Orkhon est poissonneuse, on y rencontre des brochets, des carpes, des perches et le taïmen de Sibérie, un salmonidé puissant que les pêcheurs à la mouche chassent en catch-and-release.
Route pour le parc de Khögnö Khan et installation pour la nuit dans un camp de yourtes. Sous le feutre blanc, si quelques aménagements ont été consentis, les logements demeurent tout à fait traditionnels. Belle literie encore ; mobilier peint, dans les rouges ; petit poêle ; coin toilette, où on se lave avec des serviettes chaudes à l’huile essentielle de pin. Une atmosphère que l’on n’oubliera pas de sitôt. A la salle à manger, sous des formes variées, agneau et mouton sont rois, et ont une cour nombreuse de salades. Avec ça, une cave étonnante de vins français. Tout est fait pour limiter, dans la mesure du possible, l’impact du camp sur l’environnement et lui conserver une dignité nomade.
Au programme - Méharée dans le Petit Gobi. Ce que le dromadaire est aux déserts d’Afrique et l’Arabie, le chameau de Bactriane l’est aux déserts d’Asie : un camion. La route de la soie, c’est lui. Hirsute, sobre, une légende. Eh bien, on s’assied dessus, entre les deux bosses, et on se laisse transporter parmi les genévriers qui embaument. Sous l’allure de père peinard, on sent la puissance. On pourrait croire que les bosses sont pour empêcher de tomber ; mais on sait que ce sont surtout des pots à graisse. Cet animal a plein de particularités qui lui permettent de supporter des conditions extrêmes, ce qui en a fait l’instrument du grand commerce pendant plusieurs millénaires. Aujourd’hui, il est un peu retraité mais, comme souvent les vieux de la vieille, il évoque avec pittoresque un glorieux passé.
Route pour le parc national Khustain Nuruu. Nuit dans un camp de standing. Les yourtes ont été aménagées pour répondre aux standards de la meilleure hôtellerie. Elles sont spacieuses, décorées dans un esprit mongol contemporain du plus bel effet, avec écrans de soie et mobilier de bois poli. Le confort est plus sophistiqué que dans les camps précédents. Une autre façon d’envisager les choses. La vue sur le parc national est splendide. Restaurant français ; et l’on se trouve surpris de déguster un velouté de courge alors qu’un vautour moine tourne dans un ciel immense.
Déjà prévu au programme - A la rencontre des chevaux de Przewalski. Bien sûr, la réintroduction en cours d’Equus przewalskii, repéré au XIXe siècle en Dzoungarie par Nikolaj Przewalski, fait espérer voir dans la nature ces chevaux trapus qui n’existèrent plus, longtemps, que dans des zoos. C’est le but de la sortie. Chemin faisant, toutefois, on observe la grande outarde, le faucon de l’Amour, la cigogne noire, la marmotte de Sibérie, le cerf, le chevreuil. On fait s’envoler des perdrix de Daourie et sauter vingt-neuf espèces de sauterelles… Ce qui n’est pas rien et découvre la richesse faunistique d’étendues qui ne sont vides qu’en apparence.
Route pour le parc national Gorkhi-Terelj. Installation pour deux nuits à l’entrée du parc, dans un hôtel caractéristique du luxe nord-oriental. L’influence russe, pétersbourgeoise, est forte, tant sur les motifs rococo que sur l’esprit : un peu trop de tout, voilà l’idée. Du coup, on est un personnage dans un décor de conte. Les chambres sont ultra confortables ; on a le choix de ses oreillers. Trois restaurants, un café, un bar, des salons. On passe du thé au lait salé à l’afternoon tea dans les règles. Dans les salles à manger, les tables sont dressées avec une méticulosité géométrique. Le spa est à l’avenant, glamour, pro. La piscine intérieure, avec ses galeries à colonnes, évoque les villes d’eau Belle Epoque. C’est assez épatant !
Au programme - Le parc Gorkhi-Terelj à cheval. Le paysage du parc est mouvementé, avec de spectaculaires formations rocheuses. La steppe forestière domine. Les mélèzes offrent un abri aux élans et aux ours. Ce serait une bonne surprise d’en croiser, mais on verra plus sûrement des yaks et des chevaux. Il n’est pas nécessaire d’être grand jockey pour se joindre à la sortie, on va d’un pas paisible. D’autant que la singularité de la monte mongole risque de surprendre les cavaliers européens chevronnés. Les accompagnateurs savent tout cela et sont attentifs et de bon conseil. En chemin, on passe devant des ovoo, amas de pierres matérialisant des points de rencontre entre le monde des hommes et celui des esprits.
Transfert à l’aéroport d’Oulan-Bator et vol retour.
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