Idée voyage 100% personnalisable
Canada - Nouvelle-Ecosse
Suggestion 100% personnalisable selon vos envies
Prise en main de la voiture de location. Installation pour deux nuits dans le centre : grand établissement moderne relié au Downtown Halifax Link, le réseau de passages climatisés permettant de circuler à pied tout temps. De l’hôtel, la vue sur le port est splendide. Les chambres sont nettes et classiques ; impeccablement équipées ; confortables. Les tons brun, tabac, sisal, gris, blanc font un environnement sérieux et calme. Au restaurant, on ne peut ignorer être aux Amériques : tout ce que vous pouvez imaginer mettre entre la poutine et les nachos. Une grande piscine intérieure et une salle de gymnastique bien dotée en appareils sont accessibles aux hôtes. La maison a reçu le label Green Key pour des mesures concrètes de gestion durable.
Déjà prévu au programme - Billet pour le Pier 21, musée canadien de l’Immigration. La Jetée 21 a été la porte d’entrée au Canada pour près d’un million de personnes entre 1928 et 1971. Pendant la 2nde Guerre mondiale, les installations servirent aux transports militaires. Aujourd’hui, le hangar ayant servi de lieu d’accueil, de contrôle et d’orientation des immigrants, surtout européens, a été aménagé en musée. Celui-ci documente, de façon didactique et sensible, à l’aide de documents très variés, cette considérable histoire de voyage. Des transatlantiques aux colonist cars qui emportaient les nouveaux venus dans l’intérieur du pays. En passant par le contenu des valises de certains d’entre eux. Au carrefour des espérances et de l’administration, le Pier 21 a été un lieu canadien clé.
Route pour Baddeck, sur l’île de Cap Breton. Installation pour deux nuits au bord du lac Bras d’Or. L’hôtel se compose de petits cottages tradi autour d’un grand. Le parc soigneusement entretenu donne sur une mini marina et le lac. Atmosphère et style, on réalise que la Nouvelle-Ecosse se trouve dans le prolongement de la Nouvelle-Angleterre. Les chambres sont soignées, confortables. Elles ont un certain charme countryside. On peut se restaurer au café-bar, au restaurant, et même sur une table flottante particulière ! On ne s’étonne pas que poissons et fruits de mer soient à l’honneur, mais on s’en régale. Au spa, un joli bassin intérieur et une équipe de praticiens retaillés. On peut louer sur place paddle boards, bateaux pontons, bateaux pneumatiques.
Déjà prévu au programme - Kayak de mer sur la Murray River. Installés dans les embarcations à St. Anns, on s’en va en compagnie d’un guide-instructeur anglophone, remonter un peu la Murray River, en plein Cap Breton. Les paysages ont un air de toujours, même s’ils ne sont plus tout à fait ceux des Indiens et de l’époque héroïque de l’exploitation forestière. D’ailleurs, on pagaie jusqu’à l’un de ces postes bucherons. La navigation est paisible. Les berges sont à la fois amples et harmonieuses. On se laisse prendre à l’atmosphère nature et porter par un engin qui, somme toute, n’est pas difficile à manœuvrer.
Route pour Ingonish Beach, à l’entrée est du parc national des Hautes Terres de Cap Breton. Installation pour deux nuits sur le cordon littoral qui sépare Freshwater Lake de l’Atlantique. Autant dire que le point de vue est un atout majeur de la maison. Et pas le seul. Le monument Tudor Revival qui vous loge date de 1939, il est contemporain de la mise en valeur touristique de l’île : Cabot Trail, 1932 ; Cape Breton Highlands NP, 1936. Historique donc. Et impeccablement confortable. Pas d’originalité à tout crin dans les chambres, mais un confort exact et complet. Au restaurant, on sent le chef Daryl MacDonnell familier des ingrédients régionaux. Du fameux homard aux fameux biscuits d’avoine, il fait les choses avec une justesse contemporaine digne d’éloges. Le spa est sans reproche, la piscine extérieure et le golf 18 trous. Ce dernier est une création de Stanley Thompson, les connaisseurs apprécieront.
Pour un premier contact avec le parc national, on sera bien inspiré de prendre à pied la Middle Head Hiking Trail. Cette randonnée offrant des points de vue spectaculaires pour un effort modéré. Elle va et vient sur une presqu’île rocheuse par laquelle Cap Breton semble tirer la langue à l’Atlantique. Les sentiers sont balisés. Falaises, chaos, pins, grands splatch écumeux des vagues qui se brisent, cris des oiseaux marins, phoques parfois, font un contexte étourdissant. La Skyline Trail n’est pas mal non plus. On commence sur Cabot Trail, à la montagne des Français, pour aboutir à un promontoire sur le golfe du Saint Laurent. Des terrasses aménagées permettent d’observer les baleines, qui sont dans les parages d’avril à octobre. Chemin faisant, on peut avoir la veine d’une rencontre avec l’orignal. Le profil de la randonnée est plutôt doux ; sentier balisé.
Route pour la côte ouest. Installation pour deux nuits en plein Chéticamp. Les bâtiments sont de style campagne tradi. Galeries, terrasses de bois. Les chambres ont l’air simple comme ça, quoiqu’harmonieuses et confortables, mais elles sont aussi pleines de détails sophistiqués : artistes graphisme et tissus un peu partout. Et d’une inspiration heureuse. Les salles de bain sont mignonnes comme tout. Une salle de gym est à la disposition des hôtes. Pour les repas, on a recours aux ressources du bourg, qui sont parfaitement à la hauteur.
Déjà prévu au programme - Observation des baleines. Baleine à bosse, rorqual commun, et bleu, baleine franche, mais aussi baleine de Minke, globicéphale noir, marsouin commun, dauphin à flancs blancs, voire béluga ou grand cachalot se rencontrent aux périodes propices dans le golfe du Saint Laurent. Aussi embarque-t-on en petit groupe afin d’aller à leur rencontre. Un guide anglophone accompagne la sortie. En chemin, on longe la belle côte de l’île. En mer, les rencontres, à distance respectueuse, sont toujours à la fois impressionnantes - grosses bêtes tout de même ! - et touchantes - grosses bêtes si dépourvues d’agressivité. Des puissances qu’on dirait bienveillantes.
Route pour Pictou. Installation pour deux nuits dans le centre, à portée de promenade du port, des élevages de homards, des musées, de l’Hector, réplique de la flûte ayant transporté jusqu’ici les premiers colons écossais en 1773. Les références tartan ne sont pas dues au hasard. L’hôtel d’ailleurs, avec ses briques rouges et ses fenêtres à guillotine a une façade très européenne. Dedans, un certain charme old time et un confort douillet. Les chambres sont comme ça. Et les parties communes. Avec ses meubles cirés, sa jolie porcelaine et son plancher, la salle à manger est particulièrement réussie. A l’extérieur, d’agréables terrasses. La bike barn est une évidence dans une région si propice au vélo.
The birthplace of New Scotland dit l’office de tourisme. De fait, les Ecossais en grand nombre sont arrivés par Pictou. Ces premières générations d’immigrants ont laissé des traces architecturales, qui se repèrent en ville. La visite de la maison du pasteur presbytérien Thomas McCulloch restitue l’atmosphère du XIXe siècle en Nouvelle-Ecosse. Ce révérend était aussi pédagogue et écrivain. On lui doit notamment le premier écrit humoristique canadien en anglais : The Mephibosheth Stepsure Letters, autour de1820. Dans un autre genre, la gare de l’Intercolonial, 1904, est aussi un monument de valeur. Quant au Northumberland Fisheries Museum, il invite à redécouvrir une activité tout à fait essentielle à l’économie et à la culture de la province. Depuis les premiers colons, mais surtout depuis les Micmacs.
En option - Une journée cuisine avec le Kilted Chef.
Route pour Wolfville, sur le bassin des Mines. Nuit dans une ancienne demeure de capitaine. Elle a été rendue à tout son lustre victorien par une restauration habile. A l’intérieur, bon goût partout. Les chambres sont parfaitement équipées et confortables. Une élégance cosy. Le restaurant sert, dans deux exquises salles à manger, une cuisine de proximité. La cave rappelle opportunément que la vallée d’Annapolis est le centre du wine country de Nouvelle-Ecosse. On risque d’aller pas pour rien transpirer sur les appareils de la salle de gym ! La maison est entourée de ravissants jardins, où il fait bon prendre un peu de repos.
Le bassin des Mines, au nord-est de la baie de Fundy, a dit-on les plus hautes marées au monde, le marnage pouvant atteindre 16 mètres. Vous êtes bien placés pour observer cet intéressant phénomène. A Grand Pré, on renoue avec l’Acadie et l’histoire douloureuse des déportations. Le village est National Historic Site of Canada, il est aussi inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco. On y cultive la vigne et le pommier, pour faire du vin et du cidre.
Route pour Yarmouth. Installation pour deux nuits un peu au sud, à Argyle. Au bord de l’eau. La grande maison est construite en bois de cèdre. De là, on a une large vue sur Lobster Bay. Les chambres évoquent irrésistiblement l’adjectif familial. Elles sont à la fois cosy et sans façons. On y est chez soi d’emblée. La salle à manger est dotée de baies continues. C’est ici comme pour le reste, on fait bien les choses, mais on ne fait pas de manières. Ce qui donne Lobster Mac n’Cheese, Lobster Poutine ou Lobster Bay au gratin. La plage de sable gris est au bout du jardin. Les activités nautiques y ont leur starting point.
Bonne idée que d’aller voir le soleil se lever sur le phare du cap Forchu. Alors, on se lève soi-même avant l’aube. Une pierre runique retrouvée aux environs de Yarmouth a incité à penser que Leif Erikson et ses Vikings explorateurs seraient arrivés jusqu’ici au tout début du XIe siècle. On sait de façon moins conjecturale que monsieur de Champlain passe en 1604. Au XVIIIe siècle, ce sont des colons du Massachussetts qui fondent la ville. Ils y sont rejoints par des Acadiens de Grand Pré. Un siècle plus tard, on construit des bateaux à tire-larigot. Des bateaux à voile. La vapeur met un terme au chantier naval. Reste la pêche. Et le tourisme que suscite un statut de porte de la Nouvelle-Ecosse.
En option - Visite privée de Yarmouth.
Route pour Lunenburg. Nuit dans une grande maison au bardage bleu, légèrement en retrait des quais. L’intérieur est simple et confortable. On trouve dans les chambres ce dont on a besoin pour prendre une bonne douche et passer une nuit douillette. Ce qui est tout de même assurer l’essentiel aux voyageurs. Lunenburg fait le reste.
Déjà prévu au programme - Visite privée de la ville. L’Unesco a inscrit Lunenburg au patrimoine mondial comme le mieux conservé des établissements coloniaux britanniques en Amérique du nord. L’ensemble de maisons, édifices publics et commerciaux, églises, donne une claire et charmante idée de ce qu’était le bourg au XIXe siècle. Trouve-t-on que la Lunenburg Academy a une touche un peu allemande ? Le guide explique que tout à fait, les colons allemands ayant été nombreux à s’installer ici, l’empreinte s’explique. Et puis on voit le monument emblématique et fierté municipale : Bluenose II, fac-similé de la goélette morutière Bluenose, qui remporta dix-sept ans de rang, au cours des années 1920 et 30, l’International Fishermen’s Trophy.
Déjeuner à Peggys Cove en baie de St. Margarets. Paysage marin ravissant et phare star. Route pour l’aéroport d’Halifax et rendu de la voiture. Vol retour.
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