Cent vingt nationalités mêlées ; des discussions qui s’égrènent en français, anglais, en créoles – guadeloupéen, martiniquais, haïtien – Saint-Martin est un melting-pot cosmopolite, une terre accueillante, dont le surnom de « friendly island » n’est pas usurpé. Le soleil tout au long de l’année, les plages de sable blanc et la mer, turquoise – des vagues toniques de l’Atlantique aux eaux calmes de la mer des Caraïbes – achèvent de rendre des plus hospitaliers ce petit morceau de France en mode caraïbe.
Une route sinueuse jusque à un refuge chic perché sur une colline, qui surplombe la petite baie de Anse Marcel, un des plus beaux panoramas de l’île, face à l’île d’Anguilla. Sur la plage abritée de la houle, le sable doux comme de la farine, les eaux calmes qui hésitent entre jade et turquoise.
Cul de Sac, un minuscule embarcadère, une « saintoise », petite barque traditionnelle, pour rejoindre l’îlet Pinel, dans la réserve naturelle de Saint-Martin. On accoste dans le petit lagon de l’îlet – entre mer et montagne, une plage de sable blanc, des eaux translucides. Un masque et un tuba, les poissons fluorescents paradent – poissons-papillons-rayés et poissons-chirurgiens, perroquets-feu-tricolores et sergents majors : leurs noms sont aussi chatoyants que leurs couleurs ! Une paillote sur la plage, les pieds dans l’eau, une salade au crabe et une langouste toute juste pêchée, braisée.
Orient baie, autre atmosphère : la place du village a des airs de place de Sud de la France, et sur la plage, la plus longue de l’île, une des plus belles des Caraïbes, vagues et kite surf, transat et cocktail – et toujours, les cocotiers, l’eau turquoise, le sable chaud. Dans les showrooms et les restaurants de plage, les serveuses officient en bikini. Ambiance lounge sur la plage, et au coucher de soleil, les Dj s’installent aux platines dans leurs cabines de plage.